De son stage d’été à son poste de technologue en chimie, Rebecca promeut les pratiques durables dans le laboratoire central de notre entreprise.
Faites la connaissance de Rebecca Schalike, technologue en chimie dans l’équipe Salubrité alimentaire et assurance de la qualité du laboratoire central de notre entreprise. Son parcours chez les Aliments Maple Leaf a commencé en 2014, lorsqu’elle s’est jointe à notre entreprise en tant que stagiaire d’été. Depuis, sa carrière a été très stimulée et Rebecca a développé une grande passion pour la durabilité au cours des 10 dernières années.
Travailler pour les Aliments Maple Leaf permet à Rebecca de mettre à profit ses connaissances en sciences judiciaires dans le travail utile qu’elle accomplit chaque jour au sein de l’entreprise. Elle est fière de pouvoir fournir des aliments salubres aux consommateurs dans les collectivités du pays. Elle aime aussi avoir la possibilité de contribuer à l’amélioration des collectivités dans le cadre du programme Rehausser le bien-être dans son voisinage, qui laisse les membres du personnel se porter volontaires pour redonner à leur collectivité de la façon de leur choix.
En dehors du travail, Rebecca s’occupe de Meeko et de Rosco, ses chats, qui la tiennent, elle et son fiancé, sur le qui-vive.
Rebecca est une héroïne de la durabilité au travail et à la maison : elle est passionnée par les solutions durables qui aident à protéger la planète pour les générations futures! Vous en apprendrez davantage ci-dessous.
Qu’est-ce qui vous a amenée chez les Aliments Maple Leaf et qu’est-ce qui vous a convaincue de rester?
J’ai entrepris ma carrière chez les Aliments Maple Leaf en été comme stagiaire au comptoir des hot-dogs sur la chaîne de production à l’ancienne installation de Courtland Avenue à Kitchener. Depuis, j’ai occupé quelques postes comme stagiaire dans différentes installations du réseau. Un été, j’ai travaillé dans l’équipe Assurance de la qualité comme technicienne de laboratoire à l’usine de Lagimodière, à Winnipeg, au Manitoba. Mon premier poste à temps plein chez les Aliments Maple Leaf était celui de technicienne en assurance de la qualité à l’usine de viandes en conserve à Mississauga, en Ontario.
Enfin, en 2021, j’ai été transférée là où je me trouve maintenant : au laboratoire central de Puslinch, en Ontario.
Si je suis restée, c’est parce que les valeurs de leadership des Aliments Maple Leaf me motivent vraiment, et je trouve qu’elles correspondent beaucoup à mes valeurs personnelles. J’ai vraiment aimé travailler ici et faire partie d’une équipe qui prend ces valeurs au sérieux.
Quel rôle la durabilité joue-t-elle dans votre travail dans les domaines de la salubrité alimentaire ou de l’assurance de la qualité?
Je suis très heureuse d’avoir aidé l’équipe au laboratoire central à atteindre le plus haut niveau de la certification « verte » dans le cadre de My Green Lab, un programme accrédité qui est reconnu pour la durabilité des laboratoires.
Ici, au laboratoire, nous avons notre propre comité de durabilité qui traite différents projets tout au long de l’année dans différents secteurs, que ce soit les déchets, l’énergie, l’eau, etc.
L’an dernier, j’ai contribué à l’audit sur les déchets, car leur réduction est la catégorie dans laquelle je travaille le plus. C’était un projet de grande envergure, mais il nous a permis d’acquérir beaucoup de renseignements. Cette année, je participe aux efforts de réduction des déchets grâce aux renseignements et aux données que nous avons recueillies.
Que signifie pour vous la durabilité chez les Aliments Maple Leaf?
Pour moi, la durabilité chez les Aliments Maple Leaf, c’est adopter une approche holistique pour favoriser l’intégrité et la longévité de notre planète, mais aussi des collectivités.
Par holistique, j’entends de la ferme jusqu’aux consommateurs. Pour y parvenir, nous devons être les premiers à fournir des aliments salubres et nutritifs et prendre des décisions soucieuses de l’environnement dans nos activités quotidiennes.
Chacune de nos actions et de nos décisions est l’occasion de mieux échanger avec nos collectivités et nos partenaires pour lutter contre les problèmes actuels touchant l’insalubrité des aliments au Canada, qui vont de pair avec les changements climatiques.
Bien sûr, je suis fière de travailler pour une entreprise qui s’efforce constamment de s’améliorer pour atteindre son objectif audacieux : devenir l’entreprise de produits de protéines la plus durable sur la planète.
Qu’en est-il de la durabilité dans votre quotidien, au travail et chez vous?
Dans le laboratoire, nous avons un programme de recyclage que je suis fière d’avoir contribué à mettre en place. Nous avons mis en œuvre toutes sortes d’initiatives de durabilité, comme l’installation de lumières DEL et le programme de recyclage des piles, de l’encre des imprimantes et des stylos. C’est en participant à ces différents programmes que je m’intéresse à la durabilité dans le milieu de travail.
À la maison comme au travail, je fais attention à mes repas. Par exemple, j’essaie de produire le moins de déchets possible, voire pas du tout.
En dehors du travail, j’aime la nature et sortir pour faire de la randonnée, du camping, de la marche et du jardinage.
Je participe à des programmes de recyclage et de réduction des déchets à la maison. Bien que nous ayons notre programme de recyclage local, nous essayons aussi de réduire la production de déchets dans notre foyer le plus possible. Pour ce faire, nous achetons des produits locaux et durables auprès des fournisseurs dans nos collectivités, notamment le shampoing et les vêtements. Je fabrique mon propre engrais à la maison avec des déchets organiques, particulièrement les pelures de fruits ou de légumes.
Et bien sûr, comme dans la plupart des foyers, mon fiancé et moi sommes très stricts sur le fait d’éteindre les lumières lorsqu’elles ne sont pas nécessaires, d’économiser de l’eau en fermant les robinets lorsque nous nous brossons les dents et de débrancher les appareils que nous n’utilisons pas.
Pouvez-vous nous parler des projets de durabilité sur lesquels vous travaillez en ce moment?
Dans le laboratoire, nous recevons beaucoup d’échantillons qui doivent être conservés au frais. J’aide donc l’équipe responsable de la durabilité à étudier la possibilité d’utiliser des blocs réfrigérants écologiques pour l’expédition des articles, ce qui serait une solution durable pour une glacière au lieu du polystyrène.
L’autre projet qui me tient vraiment à cœur est d’aider l’équipe responsable de la durabilité de l’entreprise à rehausser la culture de durabilité et à accroître la mobilisation dans l’ensemble du réseau des Aliments Maple Leaf. Il y a beaucoup de potentiel dans l’éducation et la mobilisation des membres de l’équipe pour intégrer la durabilité à leurs activités quotidiennes.
Que souhaitez-vous pour le futur chez les Aliments Maple Leaf en matière de durabilité?
J’espère vraiment que les Aliments Maple Leaf pourra diriger l’élimination des silos dans notre réseau, mais aussi dans l’ensemble de l’industrie alimentaire, continuera de partager les pratiques exemplaires et collaborera avec les autres pour accroître la durabilité dans l’industrie alimentaire mondiale.
Je crois sincèrement que notre vision est réalisable : nous pouvons être l’entreprise de produits de protéines la plus durable de la planète. C’est un objectif ambitieux et il ne fait aucun doute que nous devrons surmonter des obstacles, mais je crois fermement que tout ce qui en vaut la peine est semé d’embûches.
En tant qu’entreprise, si nous incarnons les valeurs des Aliments Maple Leaf, nous pouvons être des chefs de file dans la production de meilleurs aliments pour des collectivités plus fortes et une planète plus saine.