En assumant un nouveau rôle au sein de notre solide équipe de marketing, Kevin est enthousiasmé par l’avenir de notre organisation et par le rôle qu’il entend jouer.
Kevin Oostdyk est vice-président de la science de la demande et de la croissance des revenus chez les Aliments Maple Leaf, un poste qu’il a récemment assumé avec le lancement de notre Centre d’excellence Accélérer sous la direction de Casey Richards.
Avec huit ans d’expérience chez les Aliments Maple Leaf, Kevin a une formation en analyse avancée, axée sur les données, sur l’exécution de modèles analytiques complexes pour obtenir des renseignements pour les entreprises de produits de grande consommation, et l’optimisation des prix, des stratégies de promotion, de l’efficacité du marketing et d’autres stratégies plus avancées.
Aujourd’hui, le rôle de Kevin consiste à améliorer les pratiques de gestion de la croissance des revenus des Aliments Maple Leaf et à superviser les connaissances et l’analyse de la clientèle et du marketing. Avec sa nouvelle équipe, il contribue à la croissance de notre marque par l’entremise de leviers de marketing clés et à l’amélioration de notre utilisation des données et des connaissances afin d’offrir plus de bons aliments à un plus grand nombre de personnes formidables partout au pays.
Qu’est-ce qui vous a amené chez les Aliments Maple Leaf et qu’est-ce qui vous a incité à y rester?
J’ai rejoint Maple Leaf en 2015 pour mettre en place un système de gestion des revenus pour l’organisation. C’était une occasion unique sur le marché canadien, en particulier d’avoir la possibilité de construire et de façonner quelque chose dès le départ.
Personnellement, j’ai quatre enfants et lorsque j’ai rejoint l’entreprise, ils étaient beaucoup plus jeunes qu’ils ne le sont aujourd’hui. Mon poste précédent avait une portée mondiale, et je voyageais donc beaucoup. Ce rôle chez Maple Leaf m’a permis d’être plus souvent à la maison avec mes enfants, car je ne voyage pas autant.
Au cours des huit dernières années, j’ai appris à aimer beaucoup de choses au sujet de cette entreprise. Je dis toujours que notre activité est complexe et que les défis sont incessants. Le fait d’être constamment mis au défi renforce la résilience et je crois vraiment que c’est ainsi que l’on se développe en tant qu’individu, dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle. Quand je regarde en arrière, depuis que je suis ici, je peux vraiment voir comment j’ai évolué en tant que personne et en tant que professionnel. La complexité de notre entreprise signifie également qu’il est nécessaire de s’efforcer en permanence de simplifier les choses. Notre secteur d’activité exige des personnes curieuses qui posent des questions et se fraient un chemin à travers la complexité. En tant que personne profondément analytique, c’est tout à fait ce qui me convient.
Ce qui me pousse à rester chez Maple Leaf, c’est que je pense que l’avenir est très prometteur et passionnant. En tant qu’entreprise, nous avons fait beaucoup de chemin au cours des huit dernières années. Mais aujourd’hui, nous sommes à un point d’inflexion passionnant, et je peux voir qu’il y a beaucoup plus de possibilités que nous n’avons pas encore réalisées en termes de création de valeur. Nous pouvons atteindre un niveau de performance encore plus élevé que celui que nous connaissons aujourd’hui, et c’est très stimulant pour moi.
Vous avez un nouveau rôle en tant que vice-président de la science de la demande et de la croissance des revenus. Qu’est-ce que la science de la demande et quel rôle joue-t-elle chez Maple Leaf?
La science de la demande consiste à comprendre comment maximiser la demande des consommateurs en optimisant tous les leviers commerciaux dont nous disposons.
Jusqu’à présent, j’étais responsable de la gestion de la croissance des revenus. Cette équipe se concentrait principalement sur les variables d’investissement en matière de prix et de promotion. Là où nous avons une opportunité de croissance, c’est en explorant comment nous optimisons ces éléments avec d’autres leviers dans lesquels nous investissons. Des éléments tels que les investissements en marketing, l’innovation, le marchandisage et les choix d’assortiment, ainsi que les investissements dans le commerce électronique. Jusqu’à présent, toutes ces décisions ont été largement prises en vase clos. En évaluant toutes les opportunités en tandem, nous avons la possibilité de créer une approche de mise sur le marché plus intégrée et d’accélérer la croissance de nos marques.
Alors que nous entrons dans un nouveau chapitre axé sur la croissance, quel rôle jouerez-vous dans notre nouveau Centre d’excellence Accélérer?
Mon rôle consiste à donner à notre entreprise les moyens de maximiser nos investissements pour stimuler la croissance de la marque, en utilisant les données et l’analyse comme catalyseurs pour y parvenir. Nous avons des équipes très intelligentes et accomplies qui dirigent différents domaines de notre activité commerciale et nous voulons les rendre encore plus avisées en leur donnant accès à de nouvelles données, à de nouveaux outils et à de nouvelles connaissances. Nous devrons investir dans de nouvelles capacités et dans la maîtrise des données pour faire avancer ce programme. Nous devrons également revoir nos processus opérationnels existants pour déterminer comment les adapter et/ou les compléter avec de nouvelles approches.
Si nous avançons de trois ans, qu’espérez-vous avoir accompli pendant cette période grâce à votre rôle et à l’environnement collaboratif d’Accélérer?
Il est très important pour moi de mesurer la création de valeur. J’espère pouvoir regarder en arrière et voir comment nous avons permis la croissance de nos marques à travers de multiples dimensions. Je m’attends également à ce que nous ayons une entreprise qui pense différemment, qui collabore plus efficacement autour des données et qui s’adapte plus facilement aux nouvelles méthodes de travail. La technologie progresse très rapidement dans ce domaine et nous devons apprendre à être sans cesse plus agiles pour être gagnants.